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A Maestà, ou Maestà de Duccio é uma pintura religiosa composta por várias peças de menor dimensão, encomendada pela cidade de Siena ao artista Duccio di Buoninsegna em 1308 e conservada no Museo dell'Opera Metropolitana del Duomo. Os painéis frontais representam uma Madona com o Menino, adornada de santos e anjos, e uma predela da Infância de Cristo com os profetas. No lado posterior foram representados os restantes painéis de um ciclo conjunto da Vida da Virgem e da Vida de Cristo no total de quarenta e três cenas de menor dimensão. Muitos dos painéis encontram-se dispersos ou perdidos. Embora o seu legado tenha demorado uma geração até ser verdadeiramente compreendido, a Maestà de Duccio deu um novo rumo à pintura Italiana, afastando-a da representação hierárquica de influência bizantina em direcção a representações mais objectivas da realidade.

História[editar | editar código-fonte]

A pintura foi instalada na catedral de Sena em 9 de Junho de 1311. Uma testemunha do evento escreveria:

E no dia em que foi trazida para a catedral, todas as oficinas estavam encerradas, e o bispo ordenou


History[editar | editar código-fonte]

The painting was installed in the cathedral of Siena on June 9, 1311. One person who witnessed this event wrote:

And on that day when it was brought into the cathedral, all workshops remained closed, and the bishop commanded a great host of devoted priests and monks to file past in solemn procession. This was accompanied by all the high officers of the Commune and by all the people; all honorable citizens of Siena surrounded said panel with candles held in their hands, and women and children followed humbly behind. They accompanied the panel amidst the glorious pealing of bells after a solemn procession on the Piazza del Campo into the very cathedral; and all this out of reverence for the costly panel… The poor received many alms, and we prayed to the Holy Mother of God, our patron saint, that she might in her infinite mercy preserve this our city of Siena from every misfortune, traitor or enemy.

Besides the Virgin Mary and the Baby Jesus, saints depicted in the painting include John the Evangelist (to the left of the throne); Saint Paul; Catherine of Alexandria; John the Baptist (to the right of the throne); Saint Peter; and Saint Agnes.[1] In the foreground are Siena’s various patron saints: Saint Ansanus; Saint Sabinus; Saint Crescentius; and Saint Victor.[1]

The altarpiece remained in place until 1711, when it was dismantled in order to distribute the pieces between two altars. The five-meter high construction was dismantled and sawn up, and the paintings damaged in the process. Partial restoration took place in 1956. The dismantling also led to pieces going astray, either being sold, or simply unaccounted for. Extant remains of the altarpiece not at Siena are divided among several other museums.

List of panels[editar | editar código-fonte]

In Siena[editar | editar código-fonte]

Reading scheme of the reverse
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  • The Mother of God Enthroned with the Christ Child Amidst Angels and Saints, central panel
  • The Wedding Feast of Cana
  • The Temptation of Christ atop the Temple
  • The Annunciation of the Virgin's death
  • The Virgin's Farewell to St. John
  • The Virgin's Farewell to the Apostles
  • The Death of the Virgin
  • The Funeral of the Virgin
  • The Burial of the Virgin
  • The Appearance of Christ behind closed doors
  • The Incredulity of St. Thomas
  • The Pentecost
  • The Appearance of Christ on Lake Tiberias
  • The Appearance of Christ on the Mountain in Galilee
  • The Appearance of Christ to the Apostles at Supper
  • The Adoration of the Magi; Solomon
  • The Presentation in the Temple; the prophet Malachi
  • The Massacre of the Innocents; the prophet Jeremiah
  • The Flight into Egypt; the prophet Hosea
  • The Boy Jesus among the Doctors
  • Episodes from Christ's Passion Tempera and gold on wood. The work, consisting of 26 episodes on 14 panels, was originally the reverse surface of the Maestà.

Elsewhere[editar | editar código-fonte]

See also[editar | editar código-fonte]

References[editar | editar código-fonte]

External links[editar | editar código-fonte]


La Maestà est une peinture religieuse de Duccio di Buoninsegna, réalisée au début du Predefinição:XIVe siècle et conservée au Museo dell'Opera Metropolitana del Duomo (Sienne).

Il s'agit d'une œuvre aux dimensions insolites, à peine moins de cinq mètres de haut sur autant de large dans son entier, peinte au recto et au verso car portée lors des processions. Destinée au maître-autel de la cathédrale de Sienne, elle peut-être tenue pour le plus important des retables de l'art italien. Elle est visible au Museo dell'Opera Metropolitana del Duomo, près de la cathédrale[1].

La commande de l'œuvre[editar | editar código-fonte]

Destinée au maître-autel du Dôme de Sienne, elle a été commandée à Duccio le 9 octobre 1308. Le peintre stipule un accord avec l'Ouvrier du Dôme pour peindre un tableau destiné à être placé sur le maître-autel de la cathédrale, selon un mode de paiement particulier : on le rétribuerait pour son travail, tandis que l'ensemble des matériaux serait à la charge de l'Ouvrier ; en outre, il toucherait, en tant que salarié et non pour la valeur de l'œuvre, un salaire de seize sols de deniers siennois par journée de travail. Duccio devait s'engager à ne pas faire, ni accepter d'autres travaux avant d'avoir achevé son œuvre. John Pope-Hennessy pense que l'accord du 9 octobre 1308, n'est pas un acte de commande proprement dit, et que Duccio, à l'époque, avait déjà entrepris de travailler à la Maestà, car trois ans semblent un délai bien court pour une œuvre de cette envergure. En effet, dès le 9 juin 1311, le grand retable est apporté en la cathédrale au cours d'une fête à laquelle prend part l'ensemble de la population.

La signification du terme Maestà[editar | editar código-fonte]

La signification de ce mot nous est donnée par Cennino Cennini dans son Traité sur la peinture : pour lui, est dite « en majesté » une figure vue de front. À partir du Predefinição:S-, on représentait ainsi le Christ, mais au Predefinição:S-, avec l'intensification du culte marial, c'est la Vierge qui est représentée « en majesté », et qui devient la « Majesté » par antonomase.

Une Maestà est donc une représentation de la Vierge à l'enfant en Majesté, soit de face, avec une attitude hiératique, sur un trône, entourée d'anges et des saints apôtres.

Les différents lieux qui ont accueilli La Maestà[editar | editar código-fonte]

La Maestà était placée sur le maître-autel, qui se trouvait alors directement sous la coupole, au croisement du transept. Elle fut rapidement enrichie de baldaquins, suspendus au-dessus d'elle, de quatre angelots et d'une tenture rouge pour la couvrir. En juillet 1506, la Maestà fut enlevée du maître-autel. Elle fut déplacée dans l'abside et accrochée à un mur du transept de gauche, où elle demeura pendant près de deux siècles et demi. Le 16 juillet 1771, le grand retable fut scié en plusieurs parties. Une partie fut placée dans la chapelle Sant'Ansano et l'autre dans la chapelle San Vittore. En 1878, les panneaux principaux passèrent au Museo dell'Opera Metropolitana del Duomo.

Étude de la peinture[editar | editar código-fonte]

La Vierge, avec l'Enfant Jésus dans les bras, assise sur un grand trône de marbre, est entourée de sa cour céleste de saints, de saintes et d’anges. De chaque côté du trône se trouve, à gauche, sainte Catherine d’Alexandrie, saint Paul, saint Jean l’Évangéliste et dix anges répartis sur les trois rangées. À droite, saint Jean-Baptiste, saint Pierre, sainte Agnès et dix anges sur trois rangées ; enfin, à genoux au premier plan, les quatre saints protecteurs de Sienne, à gauche, Ansanus et Savinus, à droite, Crescentius et Victor. Sous les arcatures du haut, au-dessus de la Vierge en majesté, dans une zone privée des encadrements originaux, se tiennent dix apôtres en demi-buste. Dans l'arcade de droite, les apôtres Matthieu, Jacques le Mineur, Barthélemy, Thomas et Mathias ; dans celle de gauche, Thadée, Simon, Philippe, Jacques le Majeur et André.

La Maestà[editar | editar código-fonte]

La Maestà est vêtue de bleu, symbole de la royauté. Elle a une attitude de mère avec sa main qui protège l'enfant. Elle a un regard triste.

Le trône[editar | editar código-fonte]

Le grand trône de la Vierge, vu selon une perspective centrale est comme un livre ouvert. Sur l'estrade du trône, se lit la célèbre inscription, en vers léonins[2] : Mater Sancta dei, sis causa senis requiei. Sis Ducio vita te quia pinxit ita : Sainte mère de Dieu, Sois cause de paix pour Sienne ; et de vie pour Duccio parce qu'il t'a ainsi peinte.

Les anges[editar | editar código-fonte]

La réunion d'anges et de saints fait penser à l'art byzantin. Les racines de l'art de Duccio plongent dans le Predefinição:S- et dans la peinture de Cimabue qui apporta des modifications à cette tradition picturale. Les anges ont des visages d'une beauté extrême, des longs cheveux bouclés et des expressions d'une douceur voilée de tristesse : ils songent au destin de Jésus, promis à une mort précoce et terrible.

Les apôtres[editar | editar código-fonte]

Dans l'arcade de droite se trouvent les apôtres Matthieu, Jacques le Mineur, Barthélemy, Thomas et Mathias. Dans celle de gauche, se trouvent Thadée, Simon, Philippe, Jacques le Majeur et André.

L'Enfant Jésus[editar | editar código-fonte]

Les vêtements de l'Enfant peints par Duccio sont somptueux. Il porte une fine tunique blanche recouverte d'une cape de couleur rouge clair qui présente de nombreux plis et qui est décorée de broderies dorées.

Notes et références[editar | editar código-fonte]

  1. La Madone, pour Sienne, remplissant la fonction de souveraine de la ville, on peut y admiser cette Maestà décrite et aussi celle de Simone Martini au Palazzo Pubblico.
  2. se dit de vers dont leurs deux hémistiches riment

Bibliographie[editar | editar código-fonte]

Sources[editar | editar código-fonte]

Voir aussi[editar | editar código-fonte]

Articles connexes[editar | editar código-fonte]

Liens externes[editar | editar código-fonte]

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La Maestà del Duomo di Siena era la pala d'altare della Cattedrale senese, dipinta tra il 1308 e il 1311 dall'iniziatore della scuola senese Duccio di Buoninsegna. È il capolavoro dell'artista ed uno dei dipinti più importanti dell'arte pre-rinascimentale italiana.

Storia[editar | editar código-fonte]

thumb|right|290px|Ricostruzione virtuale del lato anteriore della Maestà. L'opera si trova oggi collocata nel Museo dell'Opera Metropolitana, dopo essere stata esposta nel Duomo, anche se fra vari spostamenti, fino al 1878. thumb|right|290px|Ricostruzione virtuale del lato posteriore della Maestà. L'opera andava a sostituire un'icona della Vergine particolarmente cara ai senesi, perché era legata alla vittoria della Battaglia di Montaperti (1260): con questa nuova grandiosa pala volevano omaggiare ancora maggiormente la loro protettrice, alla quale era dedicata anche la Cattedrale. Il 9 giugno 1311 venne posta nella Cattedrale, con una solenne processione alla quale parteciparono le massime autorità cittadine sia religiose che civili, che iniziò dallo studio del pittore e si concluse in Duomo. Un testimone scrisse:

Ed il giorno che (la Maestà) fu portata nella cattedrale, tutte le botteghe rimasero chiuse e il vescovo guidò una lunga fila di preti e monaci in solenne processione. Erano accompagnati dagli ufficiali del comune e da tutta la gente; tutti i cittadini importanti di Siena circondavano la pala con i ceri nelle mani, e le donne e i bambini li seguivano umilmente. Accompagnarono la pala tra i suoni delle campane attraverso la Piazza del Campo fino all'interno della cattedrale con profondo rispetto per la preziosa pala. I poveri ricevettero molte elemosine e noi pregammo la Santa Madre di Dio, nostra patrona, affinché nella sua infinita misericordia preservasse la nostra città di Siena dalle sfortune, dai traditori e dai nemici.

La pala d'altare rimase al suo posto fino al 1506. Per il mutato gusto in fatto d'arte sacra, nel 1771 venne trasferita alla chiesa di Sant'Ansano in località Castelvecchio di Siena, dove venne smontata per essere ripartita tra due altari e segata in più porzioni: in quell'occasione numerosi pannelli andarono perduti. Mentre i pannelli più grandi tornarono in Duomo nel 1795 e da lì vennero musealizzati nel 1878, molti altri, appartenenti soprattutto alle parti accessorie come le predelle e le cuspidi, vennero dispersi. La predella, fronte-retro, è la prima conosciuta nell'arte italiana.

Descrizione[editar | editar código-fonte]

Il lato della Maestà e delle Storie della vita della Vergine[editar | editar código-fonte]

thumb|280px|La Madonna in trono col Bambino Si tratta di una grande tavola (425x212 cm.) a due facce, anche se oggi si presenta tagliata lungo lo spessore secondo il discutibile intervento del 1711 che non mancò di creare alcuni danni. Il lato principale, quello originariamente rivolto ai fedeli, era dipinto con una monumentale Vergine con Bambino in trono, circondata da un'affollata teoria di santi e angeli su fondo oro. Tra questi si riconoscono inginocchiati in primo piano i quattro santi protettori di Siena (Sant'Ansano, San Savino, San Crescenzio e San Vittore), mentre ai due lati sono raffigurate le due sante protettrici in piedi (Sant'Agnese e Santa Caterina d'Alessandria), avvolte da manti con un panneggio di linee nervosamente spezzate, che ricordano i goticismi della Madonna Rucellai.

Altri quattro santi stanno in secondo piano (San Paolo e San Giovanni evangelista a sinistra, San Giovanni Battista e San Pietro a destra), mentre tutto intorno si dispone con rigida simmetria un appiattito coro di venti angeli alati. Più in alto altre figure di santi più piccoli a mezzo busto (gli altri dieci apostoli) sono opere di bottega.

La predella da questo lato presentava alcune storie dell'infanzia di Cristo, nelle quali la protagonista è Maria, alternate a figure di Profeti (Isaia, Ezechiele, Salomone, Malachia, Geremia, Osea). Queste le sette tavolette conservate:

  • Annunciazione (Londra, National Gallery);
  • Natività (Washington, National Gallery of Art);
  • Adorazione dei Magi (Siena, Museo dell'Opera del Duomo);
  • Presentazione al tempio (Siena, Museo dell'Opera del Duomo);
  • Strage degli innocenti (Siena, Museo dell'Opera del Duomo);
  • Fuga in Egitto (Siena, Museo dell'Opera del Duomo);
  • Disputa con i dottori del tempio (Siena, Museo dell'Opera del Duomo).

Nel coronamento trovavano posto invece alcune Storie della Vergine dopo la morte di Cristo, quasi tutte conservate a Siena:

  • Annuncio della morte alla Vergine;
  • Congedo di Maria da Giovanni;
  • Congedo dagli apostoli;
  • Incoronazione della Vergine (Budapest, Szépműveszéti Múzeum);
  • Dormitio Virginis;
  • Funerali di Maria;
  • Sepoltura di Maria.

A parte gli angeli, Duccio si sforzò di caratterizzare individualmente le fisionomie, raggiungendo il vertice nei volti delle divinità. La Madonna è seduta su un ampio e sfarzoso trono, che accenna ad una spazialità tridimensionale secondo le novità già praticate da Cimabue, ed è dipinta con una cromia morbida, che dà naturalezza al dolce incarnato. Anche il bambino esprime una profonda tenerezza, ma il suo corpo non sembra generare peso e le mani di Maria che lo reggono sono piuttosto innaturali.

Il lato delle Storie di Cristo[editar | editar código-fonte]

Sul retro della Maestà, destinato alla visione del clero, erano rappresentate 26 Storie della Passione e Resurrezione di Cristo, divise in formelle più piccole, uno dei più ampli cicli dedicati a questo tema in Italia. Le Storie cominciavano dalla predella, poi smembrata, nella quale erano rappresentati alcuni episodi della vita pubblica di Cristo, dei quali si sono conservati:

thumb|350px|Il lato delle Storie della Passione thumb|350px|Lettura delle scene nel lato delle Storie della Passione e Resurrezione Nella grande tavola principale il posto d'onore, al centro, è dato dalla Crocefissione, di larghezza maggiore e altezza doppia, come anche la formella doppia nell'angolo in basso a sinistra con l'Entrata a Gerusalemme (da dove inizia la lettura), dove forse il tiburio gotico che sporge dalle mura è una citazione fantasiosa della cupola del Duomo di Siena. Le scene si leggono dall'angolo sinistro procedendo nella fascia inferiore verso destra dal basso verso l'alto.

Dopo il pannello centrale (Preghiera nel Getsemani e Bacio di Giuda) la narrazione riprende nell'angolo in basso opposto, procedendo verso sinistra, sempre dal basso verso l'alto. Questo espediente, già usato da secoli, serve per convogliare la lettura verso la scena centrale della Crocefissione. La fascia superiore invece si legge da sinistra verso destra, sempre dal basso verso l'alto fino alla Crocefissione.

L'ultimo riquadro è più complesso: a sinistra in basso la Deposizione dalla Croce sovrastata dalla Sepoltura, poi si prosegue per due riquadri a sinistra, poi in basso, infine a destra dove è presente il Ritorno di Cristo che resuscita i morti e sconfigge il demonio.

In varie scene Duccio diede prova di essere aggiornato rispetto alle "prospettive" dei fondali architettonici di Giotto. Uno dei più notevoli esempi si ha nella scena di Gesù davanti al Sommo sacerdote, dove è rappresentato un edificio che continua nella formella inferiore, il Tradimento di Pietro, collegato da una verosimile scalinata con tanto di pianerottolo tra le due scene, ravvivato da un'elegante bifora. Lo spazio però per Duccio non è mai condizione sine qua non, anzi in talune scene deroga volontariamente alla raffigurazione spaziale per mettere in risalto particolari che gli premono, come la tavola apparecchiata nella scena dell' Ultima cena (troppo inclinata rispetto al soffitto) o come il gesto di Ponzio Pilato nella Flagellazione, che è in primo piano rispetto a una colonna nonostante i suoi piedi poggino su un piedistallo che è collocato dietro. Duccio non sembra quindi interessato a complicare eccessivamente le scene con regole spaziali assolute, anzi talvolta la narrazione è più efficace proprio in quelle scene dove un generico paesaggio roccioso tradizionale lo libera dalla costrizione della rappresentazione tridimensionale.

Disposizione delle scene secondo l'ordine di lettura:

Nel coronamento le Storie cristologiche si concludevano con episodi post mortem (tutti conservati a Siena; manca la tavoletta centrale, forse con una Ascensione):

  • Apparizione a porte chiuse;
  • Incredulità di Tommaso;
  • Pentecoste;
  • Apparizione sul lago di Tiberiade;
  • Apparizione sul monte di Galilea;
  • Apparizione alla cena degli apostoli.

Altri pannelli[editar | editar código-fonte]

Angelo nel Museo di 's Heerenbergh

La Maestà era decorata, oltre che da guglie, pinnacoli e altri elementi di carpenteria, anche da altri pannelli dipinti cuspidati, con busti di angeli; alcuni di questi sono stati riconosciuti in collezioni e musei stranieri:

Bibliografia[editar | editar código-fonte]

  • Cesare Brandi, Il restauro della "Maesta" di Duccio, a cura del Ministero della Pubblica Istruzione, Istituto Centrale del Restauro. Istituto Poligrafico dello Stato, Roma 1959
  • Pier Paolo Donati, La Maesta di Duccio, (Forma e colore; 42), Sansoni, Firenze 1965
  • Enzo Carli, La Maesta di Duccio, IFI, Firenze 1982
  • Luciano Bellosi, Duccio. La Maestà, Milano 1998
  • Pierluigi De Vecchi ed Elda Cerchiari, I tempi dell'arte, volume 1, Bompiani, Milano 1999.